Pourquoi UBER pense-t-il de la sorte ?
“Il faut absolument sortir de cet affrontement entre chauffeurs de taxis et VTC qui ne mène nulle part”. Cet appel au calme n‘a pas été lancé par le gouvernement, c’est Uber qui le formule.
Aujourd’hui, les taxis s’interrogent sur leur avenir, alors qu’on constate un boom du transport à la demande. Le Conseil constitutionnel a décidé que les taxis pouvaient aussi avoir la casquette de VTC. Il n’y a aucune raison que les taxis ne puissent pas être commandés en utilisant des applications et avoir accès à plus d’opportunités économiques.
Pour Grégoire Kopp, les taxis conserveront toujours le monopole de la maraude. Il y aura toujours des gens qui héleront un taxi dans la rue, surtout en France, première destination touristique mondiale. Mais lorsque les chauffeurs de taxis ont une période de creux, ils peuvent changer de casquette et être commandés en tant que VTC.”
Chauffeurs et passagers, du gagnant/gagnant !
La concurrence doit avoir lieu entre les plateformes de réservation : les centrales de taxis et les applications VTC, pas entre les chauffeurs. Les chauffeurs et les passagers ont tout à gagner de cette concurrence. C’est aux plateformes, aux centrales de taxis, d’offrir les meilleures conditions pour que les chauffeurs aient envie de travailler avec eux.